Écrire vite, mal, torturer la langue, la faire saigner. Rien à foutre de rien. Si t'es "sensible" ça peut piquer, passe ton chemin, y a pas de loi, pas de règle, pas de respect ici.
Un texte reste un mois, moins si ça me saoûle (crève, académie française).
L'orthographe ? La grammaire ? On s'en fout. Le français c'est de la merde.
2025-02-07:tiens un peu de musique. La chaconne. Bach.
Je joue comme une merde mais je m'en fous. Je m'en fous ! Pire ! Je kiffe.
Peut-être, sans doute, que je suis trop habitué à m'écouter jouer si mal, alors pour moi c'est devenu la norme ?
Bah, on s'en fout les couilles.
Treize minutes de bonheur dans ta sale fasse. Enfin pour moi c'était cool à faire devant le micro pourri du pc.
Trop de blabla.
Bonne nuit.
2025-01-31: on triche un peu sur la date. Pas le choix. Faut écrire. Tous les mois. Phrases sans verbe.
Le verbe est solitaire. Ne l'oublie jamais.
Un petit bout de fiction pour bien commencer l'année ?
J'ai oublié le prénom de ma grand-mère.
Il la bourrinait, en avant en arrière, en avant en arrière, bim bam boum, quand cette idée lui vint dans le tréfond de ses synapses, tournant et tournant, gonflant, envahissante.
Il n'en avait rien à foutre. Il bourrinait.
Elle se dit que ça suffisait maintenant. Oublier le prénom de sa grand-mère, quand même, il fallait le faire.
Elle se mit donc à couiner. Des petits oui, encore, hum, c'est bon. Et bouger un petit peu, des petits mouvements du bassin. Il aimait bien. Ça le faisait venir.
Alors il vint, quelques râles, et puis les mouvements qui s'arrêtent. Et puis le pénis qui sort du vagin.
Un petit tour à la douche pour se nettoyer la chatte.
Et la vie reprend son cours.
Fiction expresse, vas-y, j'ai pas la motivation, c'est pas l'heure d'écrire.
Il le faut, alors faisons-le.
Comme ça cette histoire de prénom de grand-mère oublié, pif paf pouf, ça sort de la tête.
Que dire d'autre ? Bof, rien. Pas motivé. On verra le mois prochain hein. Faut virer les vieux textes. La flemme.